Nous étions cinq qui après avoir BIEN voté sont partis vers d'autres destinations que les urnes.
Commençons pas un petit texte de notre poétesse :
L'émotion que l'on ressent face aux paysages couverts de narcisses,
de gentianes, de troupeaux de belles vaches, s'exprime autour des mots : espace, liberté,
et vie sauvage, sans oublier La Croix de La Rode, qui balisait l'itinéraire de pèlerinage
de Poitiers à St Gilles, avec son anneau, le refuge des Rajas remarquable, et les sources du Bès.
Il ne faut pas oublier le sommet de l'Aubrac, 1469 m : Le Mailhebiau.
Une dorsale de basalte, massive et aplatie, semblant à un maillet
à assommer les bœufs ( massabuau = tue-bœufs ) avec la table d'orientation
qui nomme un paysage immense.
Le tonnerre gronde. Notre premier concert avant celui de Marchastel.
La première partie de la montée nous mène à la première croix.
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C'est sous l'œil attendrit de nos amies les vaches ( la deuxième plus belle race ! Je vous laisse deviner quelle est la première ) que nous progressons en direction du sommet.
Passage auprès du buron de Mailhebiau avec quelques sauts d'obstacles.
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Nous avons réussit à échapper au "Narcissisme" et ceci malgré toutes ces fleurs odorantes qui nous cernaient.
Le sommet de la journée, tous à table pour ne pas perdre le nord.
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La descente et l'arrivée à la croix de la Rode (Croix de la Roue).
C'est en arrivant auprès du gîte des Rajas que nous avons fait la pause déjeuner.
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Il est grand temps de repartir, le ciel devient menaçant.
C'est à 500 mètres du parking que les gouttes ont commencé à nous "doucher". Ce fut un sauve qui pleut !
A la Fare nous ne sommes pas "cape", plutôt parapluie.
Retour à Marvejols pour se préparer et repartir au concert de Marchastel afin d'écouter Piers Faccini. accompagné de Rachele Andrioli et Malik Ziad.
